GRAND LITIER, second réseau en France en nombre après la Maison de la Literie, est un réseau de spécialistes de la literie premium, axé sur le sommeil et le bien-être, qui dépasse aujourd’hui les 120 magasins. Des lieux qui bénéficient d’une véritable écoute mutuelle, une participation commune sur beaucoup de sujets et d’évolution. Le réseau, qui fonctionne grâce à des contrats d'adhésion, a fêté ses 45 ans à l’occasion de son congrès annuel qui s’est tenu en juin dernier. Entretien avec Wolf jl Stolpner, président et fondateur du groupe GRAND LITIER.

Quelle a été la dernière actualité marquante de votre entreprise ?

Notre congrès annuel vient de s’achever. Celui-ci, qui ne s'était pas tenu depuis trois ans à cause du covid, a eu lieu à Bordeaux, et a battu tous ses records de participation avec pas moins de 300 personnes qui y sont venues à un moment ou un autre tout au long de l’évènement. A cette occasion, nous avons présenté le nouveau concept GRAND LITIER dans le magasin de Bègles, axé sur le bien-être, la décoration, et qui a fait l’unanimité : en 2023, tout le réseau se mettra au concept dans le courant de l’année.

Que représente ESPRITMEUBLE pour vous ?

C’est le salon de la profession, qui permet l’échange notamment avec nos fournisseurs, nos confrères, ainsi que les journalistes. A ce titre là, c’est un moment nécessaire pour notre profession, et GRAND LITIER soutient complètement l'événement.

C’est aussi un moyen supplémentaire de voir nos adhérents, et lors du dernier Salon ESPRITMEUBLE, compte tenu du fait que nous n’avions pas eu de congrès, nous avons présenté toutes nos nouveautés. Nous avons reçu un grand nombre d’adhérents, Cela a été un très grand succès qui augmente l’intérêt d’ESPRITMEUBLE pour nous, parce que c’est un moment supplémentaire dans l’année pour se rencontrer, et échanger.

Racontez-nous votre meilleure anecdote !

Je me souviens que lors d’une édition précédente, lorsque nous avons commencé, à la fermeture du salon, à tout ranger, deux ou trois adhérents étaient encore là, nous les renseignions et discutions avec eux. C’est assez amusant parce qu’en général, au moment de fermer notre stand, tout le monde est parti. Les visiteurs restent un peu plus d’une journée, mais il y a tellement de choses à voir qu’ils n’avaient pas eu le temps de tout faire, ils avaient commencé par nous, sont allés voir d’autres stands, et sont revenus vers nous. Sans doute n’avaient-ils pas envie de partir !